Travailler avec un décorateur : tout ce qu’il va vous apporter
Dans quel cas avoir recours à une décoratrice ou un décorateur ? Comment bien choisir ? Houzz a mené l’enquête
« Une consultation déco, c’est un peu comme s’ouvrir les chakras », nous confiait il y a peu une professionnelle de l’aménagement. Cela nous a donné très envie de découvrir de plus près le métier du décorateur/décoratrice et tout ce qu’il a à nous offrir pour changer la donne dans nos intérieurs. Nous sommes donc partis à la rencontre de plusieurs d’entre elles, repérées dans la rubrique « Trouver des pros » pour leurs prestations réussies sur Houzz et les avis élogieux de leurs clients, et vous partageons leurs analyses sur leur métier.
Quelle prestation choisir ?
En fonction de vos besoins précis pour votre intérieur, vous pourrez vous adjoindre les services d’un décorateur/trice pour plusieurs types de prestations.
Le coaching déco ou conseil déco est une prestation ponctuelle rapide, courante chez les décorateurs. Marion Dubost qui en réalise jusqu’à cinq par mois « pour des gens qui se sentent perdus mais n’ont pas beaucoup de budget » détaille : « Il s’agit d’un rendez-vous de deux heures à domicile qui vise à apporter des solutions sur place, pièce par pièce. Le rendez-vous est préparé en amont par les clients qui m’ont envoyé les plans, leurs attentes et ce qu’ils aiment. Suite au rendez-vous, je leur retourne un compte rendu très visuel avec des propositions complémentaires en essayant de les surprendre. »
Selon le professionnel, cette consultation déco peut être orientée feng shui, ou encore géobiologie, afin de « décupler le potentiel énergétique du lieu et le libérer de sa négativité », indique par exemple la décoratrice Aude Martin-Cochet qui en a fait sa spécialité.
À noter que lors des épisodes de confinement, cette prestation de coaching déco s’est multipliée à distance. C’est désormais en visio que nombreuses décoratrices divulguent leurs précieux conseils.
L’AMO, ou « assistance à maître d’ouvrage » est la mission classique dans le cas d’une rénovation partielle ou totale d’un logement. « C’est une prestation d’assistance. Il s’agit d’aider le client dans ses prises de décision, de l’ordre de la décoration mais également de l’accompagner lors de cette étape du chantier », explique la designer d’intérieur Karen Tinka.
« Nous assurons des suivis de chantiers lorsque le projet nous est confié de A à Z. Je crée également du mobilier sur mesure et semi-mesure en fonction du budget de mes clients », précise pour sa part Laëtitia Noblet, la décoratrice de Fil Rouge.
Enfin, le home staging est une autre des prestations des décorateurs, plus spécialisés. Celle-ci vise à meubler et décorer une maison dans le cadre d’une mise en vente afin de l’optimiser pour une transaction plus rapide. « Le home staging consiste à décorer et meubler un appartement pour une période qui n’excède pas trois mois. Le mobilier fait partie du stock du professionnel. Il habille l’appartement et loue le matériel à petit prix, le temps de créer l’émotion nécessaire à la vente », explique Frédérique Misdariis, home stager.
Besoin des conseils d’un home stager ? Trouvez-le sur Houzz
En fonction de vos besoins précis pour votre intérieur, vous pourrez vous adjoindre les services d’un décorateur/trice pour plusieurs types de prestations.
Le coaching déco ou conseil déco est une prestation ponctuelle rapide, courante chez les décorateurs. Marion Dubost qui en réalise jusqu’à cinq par mois « pour des gens qui se sentent perdus mais n’ont pas beaucoup de budget » détaille : « Il s’agit d’un rendez-vous de deux heures à domicile qui vise à apporter des solutions sur place, pièce par pièce. Le rendez-vous est préparé en amont par les clients qui m’ont envoyé les plans, leurs attentes et ce qu’ils aiment. Suite au rendez-vous, je leur retourne un compte rendu très visuel avec des propositions complémentaires en essayant de les surprendre. »
Selon le professionnel, cette consultation déco peut être orientée feng shui, ou encore géobiologie, afin de « décupler le potentiel énergétique du lieu et le libérer de sa négativité », indique par exemple la décoratrice Aude Martin-Cochet qui en a fait sa spécialité.
À noter que lors des épisodes de confinement, cette prestation de coaching déco s’est multipliée à distance. C’est désormais en visio que nombreuses décoratrices divulguent leurs précieux conseils.
L’AMO, ou « assistance à maître d’ouvrage » est la mission classique dans le cas d’une rénovation partielle ou totale d’un logement. « C’est une prestation d’assistance. Il s’agit d’aider le client dans ses prises de décision, de l’ordre de la décoration mais également de l’accompagner lors de cette étape du chantier », explique la designer d’intérieur Karen Tinka.
« Nous assurons des suivis de chantiers lorsque le projet nous est confié de A à Z. Je crée également du mobilier sur mesure et semi-mesure en fonction du budget de mes clients », précise pour sa part Laëtitia Noblet, la décoratrice de Fil Rouge.
Enfin, le home staging est une autre des prestations des décorateurs, plus spécialisés. Celle-ci vise à meubler et décorer une maison dans le cadre d’une mise en vente afin de l’optimiser pour une transaction plus rapide. « Le home staging consiste à décorer et meubler un appartement pour une période qui n’excède pas trois mois. Le mobilier fait partie du stock du professionnel. Il habille l’appartement et loue le matériel à petit prix, le temps de créer l’émotion nécessaire à la vente », explique Frédérique Misdariis, home stager.
Besoin des conseils d’un home stager ? Trouvez-le sur Houzz
Quelle différence avec un designer d‘intérieur, un architecte d‘intérieur, un architecte ?
Lorsque l’on veut s‘adjoindre l‘aide d’un professionnel de l‘aménagement dans le cadre d‘une rénovation (de légère à intégrale), on peut avoir du mal à cerner la différence entre décorateur, designer d‘intérieur, architecte d‘intérieur et même architecte.
La décoratrice Florence Charrier de la Valise Rouge nous aide à y voir plus clair : « La décoratrice ne touche pas au structurel ou au bâti et se différencie donc du maître d’œuvre ou de l’architecte. La limite devient plus floue avec l’architecte d‘intérieur qui, pour de nombreuses agences, restructure des espaces et les aménage en liant une harmonie de couleurs et de matériaux. La décoratrice vient en prolongement de ces confrères et met davantage l’accent sur la création d‘une ambiance détaillée et mobilière », estime-t-elle.
Laetitia Noblet précise : « Une décoratrice effectue des préconisations de décoration, réalise des plans d‘agencement, des croquis, des 3D… mais n’a pas vocation à fournir des plans techniques. Les clients s‘engagent sur une prestation de conseil et traitent ensuite directement avec un artisan dont ils pourront bénéficier de la garantie décennale en cas de problème. Une décoratrice n‘est pas maître d’œuvre elle s‘assure juste que les choix déco (calepinage, peintures, modules…) sont réalisés comme sur le cahier des charges.»
Mais certains professionnels, loin du cliché dans lequel on les enferme parfois, vont parfois beaucoup plus loin qu‘élaborer un simple concept déco, supervisant des rénovations intégrales, y compris avec dépose de murs porteurs et placement d‘IPN.
La designer d‘intérieur* Karen Tinka clarifie : « Par rapport à une architecte d‘intérieur, un architecte ou un maître d’œuvre qui réalisent pour le compte de leur client des suivis techniques de chantier où ils sont pleinement décisionnaires, une décoratrice ou un designer a une mission de suivi esthétique du chantier, assistant ses clients dans ses prises de décision sans se substituer à lui. Dépourvues d’assurance décennale, les décoratrices et designers d’intérieur s’appuient en effet sur celle de l’entreprise qui réalise les travaux, ce qui conditionne leur rôle d’AMO (assistant à maîtrise d’ouvrage), qui est avant tout un rôle de conseil. »
*Un designer d’intérieur se prévaut généralement d’un BTS design d’espace quand la décoratrice, elle, a souvent appris son métier sur le tas.
Lorsque l’on veut s‘adjoindre l‘aide d’un professionnel de l‘aménagement dans le cadre d‘une rénovation (de légère à intégrale), on peut avoir du mal à cerner la différence entre décorateur, designer d‘intérieur, architecte d‘intérieur et même architecte.
La décoratrice Florence Charrier de la Valise Rouge nous aide à y voir plus clair : « La décoratrice ne touche pas au structurel ou au bâti et se différencie donc du maître d’œuvre ou de l’architecte. La limite devient plus floue avec l’architecte d‘intérieur qui, pour de nombreuses agences, restructure des espaces et les aménage en liant une harmonie de couleurs et de matériaux. La décoratrice vient en prolongement de ces confrères et met davantage l’accent sur la création d‘une ambiance détaillée et mobilière », estime-t-elle.
Laetitia Noblet précise : « Une décoratrice effectue des préconisations de décoration, réalise des plans d‘agencement, des croquis, des 3D… mais n’a pas vocation à fournir des plans techniques. Les clients s‘engagent sur une prestation de conseil et traitent ensuite directement avec un artisan dont ils pourront bénéficier de la garantie décennale en cas de problème. Une décoratrice n‘est pas maître d’œuvre elle s‘assure juste que les choix déco (calepinage, peintures, modules…) sont réalisés comme sur le cahier des charges.»
Mais certains professionnels, loin du cliché dans lequel on les enferme parfois, vont parfois beaucoup plus loin qu‘élaborer un simple concept déco, supervisant des rénovations intégrales, y compris avec dépose de murs porteurs et placement d‘IPN.
La designer d‘intérieur* Karen Tinka clarifie : « Par rapport à une architecte d‘intérieur, un architecte ou un maître d’œuvre qui réalisent pour le compte de leur client des suivis techniques de chantier où ils sont pleinement décisionnaires, une décoratrice ou un designer a une mission de suivi esthétique du chantier, assistant ses clients dans ses prises de décision sans se substituer à lui. Dépourvues d’assurance décennale, les décoratrices et designers d’intérieur s’appuient en effet sur celle de l’entreprise qui réalise les travaux, ce qui conditionne leur rôle d’AMO (assistant à maîtrise d’ouvrage), qui est avant tout un rôle de conseil. »
*Un designer d’intérieur se prévaut généralement d’un BTS design d’espace quand la décoratrice, elle, a souvent appris son métier sur le tas.
Comment trouver la bonne personne ?
Le métier de décoratrice n’étant pas strictement encadré par une formation unique, comme celui d’architecte, et sans diplôme reconnu par l’État, les décoratrices arrivent d’horizons très divers. Nous vous conseillons donc de consacrer du temps à trouver le bon professionnel, celui avec qui le courant va passer.
« Dans le cadre d’une rénovation, on passe en général 3 mois à un an avec son décorateur. Il est important que le feeling soit là. Ce n’est pas la peine de consulter trop de pros mais si ça ne matche pas au premier rendez-vous, n’hésitez pas à aller voir quelqu’un d’autre », insiste la décoratrice Marion Dubost.
Pour ne pas vous tromper, Florence Charrier de La Valise Rouge conseille de contacter un professionnel uniquement « si vous adhérez à son univers créatif. Les projets montrés sur les réseaux sociaux, sites Internet, etc. permettent de s’imprégner de sa signature esthétique et il y en a pour tous les goûts. Puis un premier contact par téléphone, suivi d’une rencontre, idéalement en présentiel, permet de faire connaissance et de voir si le contact passe bien ».
Pour sa part Laëtitia Noblet de Fil Rouge reste persuadée qu’« il faut être sur la même longueur d’ondes, réciproquement. En tant que décoratrice, nous rentrons dans l’"intérieur” des clients, ce qui a une vraie signification pour moi. À l’inverse, le maître d’ouvrage doit être sensible à l’univers de son professionnel et à son approche client ».
Pour vous aider à cerner le bon professionnel, la rubrique « Trouver des pros » sur Houzz se montrera efficace puisqu’elle vous permet de consulter les projets de différents pros de votre région et consulter les avis laissés par leurs clients.
Le métier de décoratrice n’étant pas strictement encadré par une formation unique, comme celui d’architecte, et sans diplôme reconnu par l’État, les décoratrices arrivent d’horizons très divers. Nous vous conseillons donc de consacrer du temps à trouver le bon professionnel, celui avec qui le courant va passer.
« Dans le cadre d’une rénovation, on passe en général 3 mois à un an avec son décorateur. Il est important que le feeling soit là. Ce n’est pas la peine de consulter trop de pros mais si ça ne matche pas au premier rendez-vous, n’hésitez pas à aller voir quelqu’un d’autre », insiste la décoratrice Marion Dubost.
Pour ne pas vous tromper, Florence Charrier de La Valise Rouge conseille de contacter un professionnel uniquement « si vous adhérez à son univers créatif. Les projets montrés sur les réseaux sociaux, sites Internet, etc. permettent de s’imprégner de sa signature esthétique et il y en a pour tous les goûts. Puis un premier contact par téléphone, suivi d’une rencontre, idéalement en présentiel, permet de faire connaissance et de voir si le contact passe bien ».
Pour sa part Laëtitia Noblet de Fil Rouge reste persuadée qu’« il faut être sur la même longueur d’ondes, réciproquement. En tant que décoratrice, nous rentrons dans l’"intérieur” des clients, ce qui a une vraie signification pour moi. À l’inverse, le maître d’ouvrage doit être sensible à l’univers de son professionnel et à son approche client ».
Pour vous aider à cerner le bon professionnel, la rubrique « Trouver des pros » sur Houzz se montrera efficace puisqu’elle vous permet de consulter les projets de différents pros de votre région et consulter les avis laissés par leurs clients.
Quelles sont les étapes d’un projet ?
Il faut savoir que chaque agence ou professionnel possède sa propre méthodologie. Il se dégage néanmoins un schéma global, qui peut varier légèrement selon le décorateur choisi.
« Les étapes générales sont la prise de contact, l’annonce et validation des honoraires du décorateur (contrat/lettre de mission/devis…), un avant-projet pour certaines agences, une ou plusieurs propositions d’ambiances avec plans, visuels et sélection de produits ; une présentation du dossier et du projet, puis après validation globale, un suivi de chantier et de mise en place des éléments de décoration et pièces d’ameublement si le décorateur propose ce type de mission », résume Florence Charrier de La valise Rouge.
Il faut savoir que chaque agence ou professionnel possède sa propre méthodologie. Il se dégage néanmoins un schéma global, qui peut varier légèrement selon le décorateur choisi.
« Les étapes générales sont la prise de contact, l’annonce et validation des honoraires du décorateur (contrat/lettre de mission/devis…), un avant-projet pour certaines agences, une ou plusieurs propositions d’ambiances avec plans, visuels et sélection de produits ; une présentation du dossier et du projet, puis après validation globale, un suivi de chantier et de mise en place des éléments de décoration et pièces d’ameublement si le décorateur propose ce type de mission », résume Florence Charrier de La valise Rouge.
Combien coûte l’intervention d’un décorateur ?
En fonction de la décoratrice, les deux heures de coaching déco se situent généralement entre 200 et 300 euros. « Au prix de la prestation, peut se rajouter le défraiement du transport quand le pro se déplace loin de chez lui », rappelle Marion Dubost.
Cette dépense sera toutefois vite rentabilisée, en particulier si vous devez acheter un nouveau mobilier. « Je propose à mes clients de faire les achats pour eux car j’ai des prix très intéressants et je leur fais profiter de tarifs négociés chez mes fournisseurs partenaires », explique en effet cette pro.
En ce qui concerne les prestations d’accompagnement de rénovation, les décorateurs fonctionnent différemment des architectes d’intérieur qui facturent, comme les architectes, sur la base d’un pourcentage hors taxe des travaux (entre 10 et 15% généralement).
Une première enveloppe est dévolue à l’avant-projet (plans accompagnés des planches d’ambiance, moodboards, étude de l’optimisation des espaces, shopping list et devis estimatif des travaux, 3D pour se projeter dans l’espace).
À Paris, Karen Tinka précise : « En ce qui concerne l’avant-projet, je travaille au forfait avec un tarif dégressif selon la superficie, à partir de 130 euros/m² pour un 20 m² ». Karen facture en sus le suivi esthétique du chantier (AMO) : « Pour huit semaines de travaux, je compte dix visites à 140 euros, auxquelles peut s’ajouter la prestation d’achat revente de mobilier afin que le client n’ait pas à gérer les livraisons. Soit à partir de 600 euros pour un studio », indique-t-elle. Et celle-ci de rappeler que « le vrai challenge est de faire le beau en respectant un budget, en particulier lorsqu’il est limité ».
En fonction de la décoratrice, les deux heures de coaching déco se situent généralement entre 200 et 300 euros. « Au prix de la prestation, peut se rajouter le défraiement du transport quand le pro se déplace loin de chez lui », rappelle Marion Dubost.
Cette dépense sera toutefois vite rentabilisée, en particulier si vous devez acheter un nouveau mobilier. « Je propose à mes clients de faire les achats pour eux car j’ai des prix très intéressants et je leur fais profiter de tarifs négociés chez mes fournisseurs partenaires », explique en effet cette pro.
En ce qui concerne les prestations d’accompagnement de rénovation, les décorateurs fonctionnent différemment des architectes d’intérieur qui facturent, comme les architectes, sur la base d’un pourcentage hors taxe des travaux (entre 10 et 15% généralement).
Une première enveloppe est dévolue à l’avant-projet (plans accompagnés des planches d’ambiance, moodboards, étude de l’optimisation des espaces, shopping list et devis estimatif des travaux, 3D pour se projeter dans l’espace).
À Paris, Karen Tinka précise : « En ce qui concerne l’avant-projet, je travaille au forfait avec un tarif dégressif selon la superficie, à partir de 130 euros/m² pour un 20 m² ». Karen facture en sus le suivi esthétique du chantier (AMO) : « Pour huit semaines de travaux, je compte dix visites à 140 euros, auxquelles peut s’ajouter la prestation d’achat revente de mobilier afin que le client n’ait pas à gérer les livraisons. Soit à partir de 600 euros pour un studio », indique-t-elle. Et celle-ci de rappeler que « le vrai challenge est de faire le beau en respectant un budget, en particulier lorsqu’il est limité ».
Pour avoir une idée du tarif d’un home staging, Frédérique Misdariis a détaillé la facture concernant sa prestation dans un 55 m² parisien (photo) : « Le budget alloué aux meubles et à la déco n’a pas excédé 1800 euros HT. C’est le prix qu’il aurait fallu débourser pour louer uniquement un beau canapé… »
Concluons en rappelant que « décoratrice est un métier qui prend beaucoup de temps mais c’est un métier magnifique car il permet de mettre du beau et du bonheur dans la vie des gens ! », comme nous l’a soufflé la décoratrice Marion Dubost.
ET VOUS ?
Qu’attendez-vous d’un pro de la décoration ?
Qu’attendez-vous d’un pro de la décoration ?
Que ce soit pour votre logement ou même un lieu professionnel, il est temps de vous faire épauler par un professionnel quand « vous voyez que quelque chose cloche mais vous vous sentez perdus ; que vous avez trop d’idées sans savoir comment les agencer ou, au contraire, vous croyez n’en avoir aucune ; ou encore quand vous pensez que vous n’avez pas de goût pour valoriser votre intérieur », décrit la décoratrice d’intérieur Marion Dubost.
Qu’attendre d’une décoratrice ?
Pour Marion, en effet, le décorateur ou la décoratrice sont tout simplement « les meilleurs interlocuteurs pour aider à concrétiser un changement dans un lieu ».
« Le métier consiste à dévoiler aux clients ce qui leur correspond. En leur posant des questions, on arrive toujours à mettre à jour leur univers, et même à réconcilier les couples », estime-t-elle.
Laëtitia Noblet, la décoratrice de Fil Rouge Decoration renchérit : « Je souhaite offrir à mes clients un bien-être quotidien essentiel ! Je les guide pour décorer, agencer et harmoniser leur lieu de vie en trouvant des solutions personnalisées. »
Florence Charrier de La Valise Rouge détaille : « Une décoratrice imagine, une ambiance intérieure visuelle et fonctionnelle et crée des lieux de vie uniques en accord avec la vie rêvée de ses clients. Elle harmonise dans les détails, l’enveloppe (sol/murs) d’une pièce ou d’un lieu, le mobilier et les accessoires de décoration qui le composeront. Enfin, elle apporte sa sensibilité créative et son expérience pour conseiller et accompagner son client, sans s’imposer. »
Trouvez un décorateur d’intérieur près de chez vous sur Houzz